POÈMES
Mes Poèmes d'Amour
(avec un grand A !)
Je t'aime toujours
Mon espoir est cassé,
Pour toujours.
Mon cœur est brisé,
Mais pas mon amour.
Un regard vers toi,
Mon cœur est de feu.
Juste entendre ta voix,
Et je fonds peu à peu.
J'ai beau dire que c'est fini,
Que ça y est, je t'ai oublié,
Quand je te vois qui me souris,
Je sais que je vais encore t'aimer.
Tu ne sais pas que je pense à toi,
Mais je te le dis quand même,
Je sais que tu ne m'entends pas,
Mais je m'en fiche, parce que je t'aime.
A.LEGAL, "Je t'aime toujours", 2018
L'idéal
Idéal, idéal, utopique, rêve éveillé,
De mille mots puissent le qualifier.
Dans ce royaume où il est roi,
Jamais plus ne retournerai-je là-bas.
Bats, bats, mon cœur ivre d'amour,
Lorsqu'il apparaît aux alentours.
Cette voix, ce visage, me hantent,
Il peut me dire ce qui lui chante.
Chante, chante, les rîmes de la passion,
Cela va au delà de la fascination.
Mes soucis, mes pleurs s'envolent,
Le bonheur de l'amour qui m'auréole.
A.LEGAL, "L'idéal", 2018
Il me faut le voir
Je ne ressens rien de bien,
Il me faut le voir.
Tourments, magique musicien,
Qu'il soit objet de mes nuits ce soir.
Je veux m'abrutir à contempler ses traits divins,
L'admirer à m'en brûler les paupières,
Observer chaque geste qui serait sien,
Scruter chacune de ses manières.
Pour me souvenir,
A jamais,
Et pour toujours,
De ce je ne pourrais plus lui dire,
De son visage parfais,
De tout mon amour.
A.LEGAL, "Il me faut le voir", 2018
Mes Poèmes d'Aventure
(avec un grand A aussi)
NIL
(oui inspiré de Nil)
Paradis démoniaque,
Voici leur île.
Des arbres, lacs,
Des requins et des crocodiles.
Partout où l'on mène les yeux,
On voit son rêve en cauchemar.
Ceux qui sont trop vieux,
N'ont même plus d'espoir.
Même si elle l'appelle elle ne veut pas l'écouter,
Même si elle agonise elle ne veut l'aider,
Elle est seule à l'entendre, elle est surement folle.
Sans lui elle n'y serai arrivée,
Sans lui elle y serai restée,
Ensemble ils prennent leur envol.
A.LEGAL, "Nil", 2018
Le fugitif
Mes pas semblent si lents,
Ça fait bientôt un an.
Ma dynastie est passée,
Durant cette longue année.
Mes pieds encrés dans la Terre,
Mes pensées plus tellement claires,
Ma lampe à jamais finie,
Mon sourire à jamais parti.
Je perçoit soudain,
Un très léger parfum,
Il disparaît aussitôt,
Je crois entendre quelques mots.
Dans ma tête des portes s'ouvrent,
Mes yeux clos lentement s'entrouvrent,
Mon voyage est terminé,
Il est là,
Devant moi,
Mon paradis caché.
A.LEGAL, "Le Fugitif", 2018
Mes poème de Rires
(avec un grand R)
Les Rires Roses
Les Rires colorés,
Par ce qu'ils provoquent.
Sont ris ou pleurés,
Ma personne s'en moque.
Jaunes rires hypocrites,
Forcés et malveillants.
Gris rires arrêtent trop vite,
Jamais en revenant.
Noirs rires moqueurs,
Qui ne veulent que faire pleurer.
Bleus rires polis, trompeurs,
Cristallins mais gênés.
Et puis il y a les rires d'amour,
Donnent le sentiment de mille baisers,
Raisonnent en mon cœur pour toujours,
Roses rires qui font rêver.
A.LEGAL, "Les Rires Roses", 2018
Amitiés
Ne passe de jour ou de nuit,
Sans que je ris,
Pour mes amies.
L'une parle l'autre lit,
L'autre parle l'une lit,
L'une rit l'autre la suit.
Si jamais ça ne va pas dans ma vie,
Je peux compter sur mes amies,
Je ne suis plus triste ainsi.
Je me retourne elle a grandit,
Je me retourne elle a mûrit,
Je me regarde je reste ici.
Et je veux pour avoir fini,
Tendre un énorme merci,
A Oceane et Méline, mes amies.
A.LEGAL, "Amitiés", 2018
Mes Poèmes de Nature
(avec un grand N)
Ma nuit
Apeurée, attristée, dans la nuit,
Désolée, abandonnée, je me réfugie,
Avec la Lune pour seule compagnie,
Mon cœur, mon âme, s'oublie.
Les murmures du vent m'emmènent,
Là où les étoiles se disent "Je t’aime",
Là où le ciel est d'ébène,
Là où mes larmes sont les siennes.
A.LEGAL, Ma nuit, 2019
Mes Poèmes d'Amitié
(avec encore un grand A)
Mon amie
(écrit par ma meilleure amie !)
Elle a une âme poétique
Son prénom se retrouve dans un film épique
Merci d'être ma meilleure amie
Qui le restera pour la vie.
Elle a un prénom
Qui sonne breton
Si compréhensive
Et si pensive
Merci d'être ma meilleure amie
Qui le restera pour la vie.
Elle est là pour moi
On se connaît depuis 4 ans déjà
Elle est toujours à mes côtés
On passe notre temps à rigoler
O.CHELLEN, Mon amie, 2019
Eclairés
Le soleil qui se lève timidement,
Vient éclairer mon visage endormi.
Je m'éveille doucement,
Sans réfléchir je souris.
Tous ces gens qui rythment ma vie,
Le regard éclaboussé de joie,
Me procurent un bonheur infini,
Lorsqu'ils me prennent dans leurs bras.
Quand on se sent aimé,
On peut tout accomplir.
On pourra toujours trouver,
Quelqu'un à chérir.
L'amitié est indispensable,
L'amour rend invincible,
Vivre sans vous c'est impensable,
L'amour est illisible.
A.LEGAL, Eclairés, 2019
Mon Monde
Vous m'avez abandonnée
Dans mon monde
Vous m'avez laissé tomber
Dans mon monde.
Dans mon monde je suis bien
Comme dans un lit douillet
Mais si la tristesse y vient
Doucement j'en mourrais...
Dans mon monde je suis libre
De penser, rêver, chanter
Les mots, les voix vibrent
Sans jamais être emprisonnés.
Néanmoins dans mon monde
Je demeure seule.
Ils pourraient venir, dans mon monde
Pourtant ils ne le veulent.
Alors venez,
Prenez ma main
Venez me chercher
Je ne serai plus là demain...
Mon monde est parfait,
Tous mes rêves y sont fous
Mais le paradis comme je l'imaginais
C'est avec vous.
A.LEGAL, Mon Monde, 2019
Mes poèmes en Prose
(Avec un grand P)
La cage aux oiseaux
Plus le temps avance, plus je me rends compte
Que je suis cette étrange statue de pierre.
Conceptuelle, certains m'aiment d'autres non.
Les oiseaux qui voltent autour de moi
Souvent se lassent et s'en vont
Ceux-là sont si beaux...
Mais mon corps de pierre ne peut les atteindre !
La statue est seule ; elle ne peut même pas
Lever les yeux pour contempler les cieux.
Personne ne se soucie d'elle, personne ne pense pouvoir
La blesser, son cœur de pierre est trop dur...!
Pourtant un jour, un oiseau ordinaire,
Deux ailes deux pattes deux yeux,
Vient se poser là, contempler la statue.
Il se rie d'elle et, pour la première fois,
Lui parle, "ça va ?".
Moi, statue solitaire ! Cette bouffée d'amour
Me donne l'impression d'avoir, comme l'oiseau, des ailes !
Elle donne à la pierre sans émotions
Le pouvoir merveilleux d'aimer.
Cependant l'oiseau, pensant la pierre muette,
S'en va, me laissant seule, encore.
Seulement je me sens vivre : j'entends tout !
Mon cœur de pierre qui se brise, laissant place
A un vrai cœur amoureux, le sang coulant
Le long des sillons que le temps a creusé dans ma pierre.
Et j'ai enfin pu voir le ciel, bleu.
L'oiseau m'a redonné vie, sauvé.
Je voulais alors l'enfermer à jamais dans une cage
Que seul mon cœur peut ouvrir.
Je protégerai cette cage jusqu'à ma mort.
Je ne laisserai personne ne me la prendre.
C'est ma cage ! mon oiseau !
J'ajoutais peu à peu des oiseaux dans la cage de mon cœur.
Je me battais pour les garder !
Mais j'étais tellement occupée à la préserver,
Que je n'avais même pas remarqué
Qu'elle avait toujours été vide...
.A.LEGAL, La cage aux oiseaux, 2020.
Qu'est-ce que t'en pense ?
Dis-moi, allez, dis !